Célébrations du dharma 2024 en France et dans la région nordique
Déc 10, 2024
Chaque jour, je poursuivais sans relâche l’illusion du bonheur, puis je m’auto-médicamentais avec de l’alcool pour endormir la douleur. Après avoir épuisé toutes les possibilités, j’ai finalement touché le fond il y a plus de 9 ans, ce qui m’a permis de me réadapter.
J’ai découvert la méditation alors que j’étais dans une phase très sombre de ma vie. Je ne m’en suis pas rendu compte à l’époque, mais je souffrais d’une dépression et d’une anxiété de haut niveau.
La vie n’est facile pour personne et l’école ou la famille ne nous apprennent pas toujours à gérer les souffrances mentales et émotionnelles que la vie peut nous apporter.
Je ne pouvais plus enseigner. J’ai pensé qu’un changement de travail m’aiderait, et ce fut le cas pendant quelques mois. Mais j’étais toujours la même, un peu stressée, fatiguée et malheureuse…
Ne faisant plus confiance à mes états d’esprit déformés et agités (mes perturbations mentales) pour résoudre mes problèmes et me rendre heureuse, j’ai commencé à m’appuyer sur le développement de la paix intérieure.
J’ai commencé à souffrir d’insomnie. L’inquiétude liée au manque de sommeil s’est rapidement transformée en un « train hors de contrôle », suivi d’une anxiété générale et d’une dépression.