L’esprit ne peut jamais être brisé

L'ESPRIT NE PEUT JAMAIS ÊTRE BRISÉ

Une approche bouddhiste moderne de la santé mentale

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la dépression est devenue l'un des problèmes de santé mentale les plus répandus du XXIe siècle et la première cause d'invalidité. Il y a maintenant plus de personnes qui meurent par suicide que par homicide.
L'OMS s'intéresse maintenant à l'utilisation du dharma pour résoudre ces problèmes.

Kadam Olivier, Dr. Déborah Ducasse et Guèn Jikyob avec Isabelle Wachsmuth de Art Impact For Health Initiative/Incubateur, OMS

Kadam Olivier Terreault, enseignant résident au CMK Vajrassattva (Montpellier), et la Dre Déborah Ducasse, étudiante du programme fondamental et responsable du Centre de thérapies des troubles de l'humeur et émotionnels du Centre hospitalier universitaire de Montpellier, ont récemment donné une présentation devant 250 membres des Nations Unies, qui a été diffusée à environ 200 000 autres personnes dans le cadre d'une exposition organisée par l'Organisation mondiale de la santé au Palais des Nations à Genève, en Suisse.

Ils ont présenté comment les explications contenues dans le livre de Vénérable Guéshé Kelsang Gyatso, Comment comprendre l'esprit, peuvent être utilisées pour développer des protocoles de méditation médicale à l'intention des patients diagnostiqués comme souffrant de troubles de l'humeur et des émotions, tels que la bipolarité, la dépression et le trouble de la personnalité limite.

Kadam Olivier Terreault

« Notre esprit ne peut jamais être brisé par l'expérience de la douleur. Nous sommes donc tous résilients.

Il n'y a rien de plus valorisant que de se préoccuper du bien-être des autres. Nous sommes donc tous compatissants.

Notre esprit crée toutes nos expériences. Nous sommes donc tous créatifs. »

Dr. Déborah Ducasse

« Dans le ''Journal of affective disorders'' (Journal des toubles affectifs), le Prof. Van Gordon de l'Université de Derby et notre équipe sont arrivés à la conclusion que :
''Il nous faut réaliser que si la compréhension du concept du soi est altérée, toutes les interventions mises en œuvre pour diminuer la souffrance du soi seront subséquemment altérées.'' »